Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
coffreauxserviettes
24 décembre 2010

25 décembre

Je vous souhaite un

joyeuxnoelfille

Histoire de savoir pourquoi on se gave de chocolat et de bonnes chères aujourd'hui et qu'un sapin encombre notre demeure au pied duquel on va déposer des cadeaux , voici un petit rappel de ce que représente NOËL selon wikipédia ( extraits )

Célébration

Sa célébration à la date du 25 décembre, se situe dans le calendrier julien pour les Églises orthodoxes, et dans le grégorien pour l'église catholique et protestante ; le jour de la saint Emmanuel, a été fixée tardivement dans l'empire romain d'Occident, vers le milieu du IVe siècle. Avant de la placer à la date d'une célébration solaire liée au solstice d'hiver[1], plusieurs dates furent proposées : 18 novembre, 6 janvier... Le 25 décembre marquait depuis Aurélien (v.270) l'anniversaire du Sol Invictus et de la renaissance annuelle de Mithra[2] Déesse iranienne dont le culte était adopté par Rome depuis le premier siècle. Pour des raisons symboliques, et dans un souci de christianiser les anciennes fêtes païennes, cette date fut progressivement étendue à tout l'Occident latin. Les Églises orthodoxes, qui ont conservé le calendrier julien, célèbrent Noël le 25 décembre de ce calendrier, ce qui correspond au 6 janvier du calendrier grégorien. Seule l'Église apostolique arménienne a conservé la date précise du 6 janvier comme jour de la fête de Noël[3].

Constituant avec Pâques une des grandes fêtes chrétiennes, Noël s'est progressivement chargé de traditions locales, mélanges d'innovations et de maintien de folklore ancien, au point de présenter l'aspect d'une fête profane populaire possédant de nombreuses variantes, dans le temps comme dans l'espace. L'association de la mémoire d'une naissance a facilité la place centrale prise par la famille dans le sens et le déroulement de cette fête. L'Église catholique romaine insiste par exemple sur cet aspect depuis l'instauration en 1893 de la fête de la Sainte Famille, le dimanche suivant le 25 décembre. Les cadeaux, sous forme d'étrennes, semblent être une réminiscence des cadeaux effectués lors des fêtes saturnales de décembre (strenae)[4].

Le don est présent dans de nombreuses traditions, comme celle de servir un repas au premier pauvre croisé au jour de Noël, ou dans l'exceptionnelle générosité des aumônes accordées aux mendiants à la sortie de l'office célébré durant la nuit de Noël. « La période de Noël, qui est très chargée cérémoniellement, possède une certaine intensité rituelle. Même si nous vivons fondamentalement dans une société marchande, il y a dans cet échange de cadeaux quelque chose qui est de l'ordre du don et qui est universel dans son principe: ils créent, maintiennent et consolident des liens ; ils constituent en quelque sorte une matrice du social[5]

La popularité de cette fête a fait que Noël est devenu un patronyme et un prénom.

Étymologie

Le mot Noël (dont la première attestation écrite date de 1112) est issu par évolution phonétique (nael) et modification vocalique du latin natalis (« relatif à la naissance, natal »). Le o, remplaçant le a de l'ancien français nael, vient de la dissimilation des deux a de natalis tandis que le tréma (1718) note la diérèse[6],[7].

La Nativité de Jésus-Christ

 

 

L'adoration des bergers lors de la Nativité,
Georges de La Tour, vers 1644.

Article détaillé : Nativité.

Traditionnellement, la fête de Noël est la solennité de la nativité de Jésus-Christ, la fête commémorative chrétienne de la naissance de Jésus de Nazareth qui, d'après les Évangiles selon Luc[8] et selon Matthieu[9] serait né à Bethléem. Les historiens hésitent pour leur part entre Bethléem et Nazareth sans qu'une des hypothèse parvienne à s'imposer[10].

Seul l'Évangile selon Luc raconte cette naissance[11]. L'Évangile selon Matthieu[12] ne fait que l'évoquer mais trace une généalogie à Jésus, tandis que les Évangiles évangile selon Marc et celui selon Jean[13] débutent le récit de sa vie par sa rencontre avec Jean le Baptiste.

Selon Luc

L'Évangile selon Luc raconte dans son chapitre II[14] :

« 1En ce temps-là parut un édit de César Auguste, ordonnant un recensement de toute la terre.2Ce premier recensement eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie.3Tous allaient se faire inscrire, chacun dans sa ville.4Joseph aussi monta de la Galilée, de la ville de Nazareth, pour se rendre en Judée, dans la ville de David, appelée Bethléhem, parce qu'il était de la maison et de la famille de David,5afin de se faire inscrire avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte.6Pendant qu'ils étaient là, le temps où Marie devait accoucher arriva,7et elle enfanta son fils premier-né. Elle l'emmaillota, et le coucha dans une crèche, parce qu'il n'y avait pas de place pour eux dans l'hôtellerie.8Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux.9Et voici, un ange du Seigneur leur apparut, et la gloire du Seigneur resplendit autour d'eux. Ils furent saisis d'une grande frayeur.10Mais l'ange leur dit: Ne craignez point; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d'une grande joie:11c'est qu'aujourd'hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur.12Et voici à quel signe vous le reconnaîtrez: vous trouverez un enfant emmailloté et couché dans une crèche.13Et soudain il se joignit à l'ange une multitude de l'armée céleste, louant Dieu et disant:14Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, Et paix sur la terre parmi les hommes qu'il agrée!15Lorsque les anges les eurent quittés pour retourner au ciel, les bergers se dirent les uns aux autres: Allons jusqu'à Bethléhem, et voyons ce qui est arrivé, ce que le Seigneur nous a fait connaître.16Ils y allèrent en hâte, et ils trouvèrent Marie et Joseph, et le petit enfant couché dans la crèche.17Après l'avoir vu, ils racontèrent ce qui leur avait été dit au sujet de ce petit enfant.18Tous ceux qui les entendirent furent dans l'étonnement de ce que leur disaient les bergers. »

Selon Matthieu

 

 

Fresque de Cappadoce, XIIe siècle.

Dans l'Évangile selon Matthieu[15], l'accent est mis sur la naissance miraculeuse de Jésus :

« 1. 18Voici de quelle manière arriva la naissance de Jésus Christ. Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte, par la vertu du Saint Esprit, avant qu'ils eussent habité ensemble.19Joseph, son époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de rompre secrètement avec elle.20Comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit: Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l'enfant qu'elle a conçu vient du Saint Esprit;21elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus; c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés.22Tout cela arriva afin que s'accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète:23Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d'Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous.24Joseph s'étant réveillé fit ce que l'ange du Seigneur lui avait ordonné, et il prit sa femme avec lui.25Mais il ne la connut point jusqu'à ce qu'elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus.
2. 1Jésus étant né à Bethléhem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d'Orient arrivèrent à Jérusalem,2et dirent: Où est le roi des Juifs qui vient de naître? car nous avons vu son étoile en Orient, et nous sommes venus pour l'adorer. »

Hérode le Grand meurt, selon les sources, en -4 ou -1 et qu'on lui attribue l'épisode Massacre des Innocents[16] ce qui fait de lui le « candidat » le plus probable qui est mentionné dans ce passage. Cette présentation du massacre est une réactualisation de l'histoire de la persécution par Pharaon de Moïse, quoiqu'il s'appuie peut-être sur une base historique[17].

Une date imprécise

Article détaillé : Anno Domini.

Historiquement, ni l'année ni le jour de la naissance de Jésus de Nazareth ne sont connues. Les Évangiles ne donnent aucune précision quant à la date de sa naissance.

Les dates retenues concernant l'année de naissance de Jésus peuvent osciller entre -9 et -2[18]. Les Évangiles selon Matthieu et selon Luc la situent sous le règne d'Hérode le Grand dont le long règne s'achève en 4 avant notre ère[19]. L'estimation généralement retenue par les historiens actuels va de 7[20] à 5 avant notre ère[21].

Il est paradoxal que Jésus de Nazareth puisse être né « avant Jésus Christ » : l'origine de l'ère commune est en effet censée être la naissance du Christ. Mais ce début de l'ère chrétienne (l'Anno Domini), qui ne s'est imposé progressivement en Europe qu'à partir du Ier millénaire[22], a été fixé d'après les travaux du moine Denys le Petit réalisés au VIe siècle, que l'on sait à présent être erronés[23] et, si le calendrier historique a été précisé depuis, son origine conventionnelle n'a pas été modifiée.

Fixation de la fête

La naissance de Jésus (la Nativité) est traditionnellement fêtée le 25 décembre, à Noël, mais cette date est entièrement conventionnelle, et n'a rien d'un « anniversaire ». Elle aurait été fixée dans l'Occident latin au IVe siècle, possiblement en 354[24], pour coïncider avec la fête romaine du Sol Invictus[25], célébrée à cette date à l'instar de la naissance du dieu Mithra, né un 25 décembre [26]; le choix de cette fête permettait une assimilation de la venue du Christ - « Soleil de justice » - à la remontée du soleil après le solstice d'hiver[27]. Avant cette date, la Nativité était fêtée le 6 janvier et l'est encore par la seule Église apostolique arménienne, alors que l’Église catholique romaine y fête aujourd’hui l’Épiphanie ou Théophanie[28].

La fête de la naissance du Christ le 6 janvier, le jour de l'Épiphanie, pourrait trouver son origine au sein de certaines communautés chrétiennes d'Égypte au IIIe siècle[29]. Il semble que les basilidiens célébraient dès cette époque le baptême de Jésus à cette date[30] qui se confondait déjà avec sa naissance[31] mais la question reste débattue[32].

Selon la tradition catholique, c'est le pape Libère qui, en 354, aurait institué la fête de la Nativité à Rome le 25 décembre, date du Natalis Invicti[33] ; il aurait également codifié les premières célébrations[réf. nécessaire]. Beaucoup de dates étaient proposées pour la naissance du Messie et il est admis que la popularité des fêtes de Mithra au solstice d'hiver dans l'Empire romain ait joué un rôle dans le choix de la date[34].

Les Églises orthodoxes fêtent quant à elles Noël le 25 décembre du calendrier qu'elles suivent (calendrier julien ou grégorien) et le baptême du Christ le 6 janvier.

La tradition chrétienne de Noël s'inscrivant dans une démarche théologique, elle fête davantage l’évènement de la naissance du Christ, plutôt qu'elle ne célèbre une date en particulier ; dans cette optique, l'exactitude et la correspondance des dates avec la réalité historique sont donc des éléments accessoires.

Publicité
Commentaires
L
bon après les fêtes c'est tout de même plus facile de lire tout ça !<br /> le mal de crâne est passé [mdr][mdr]
T
Merci les filles<br /> <br /> Alors vous avez lu ???? on ne sait même pas quand le petit jesus est né [mdr] par contre une chose est sure c'est la nuit du père noël [Oui] <br /> <br /> et selon les 2 évangélistes, MArie et JOseph ont vécu dans le péché, alors tout est permis [mdr saoul]
M
euh toutim nous mettre une photo de toi puis une leçon de cathechisme par la suite...euh va te confesser, et non ce n'est pas une fesser à la con...<br /> <br /> JOYEUX NOEL, desole je repasserai pour lire mm si j'ai pas beaucoup bu ,je ne veux pas un mal de crâne....<br /> <br /> gros bisous
S
joyeux noèl<br /> bisous
F
Oops! Je n'avais pas la photo! Cela faisait vraiment une phrase bizare ! [:D]
Publicité
Newsletter
coffreauxserviettes
Archives
Publicité